De la fermeture des mines à l’ouverture des usines : il n’y a aucune fatalité pour réindustrialiser.
Alès en est le meilleur exemple.

Alès, c’est 5000 habitants en + tous les 5 ans. Le succès est tel, qu’Alès manque désormais de terrain disponible !
Pourquoi ?





Si Alès gagne le combat de la réindustrialisation, c’est grâce à l’engagement collectif de ses élus et de ses entreprises.
C’est maintenant à l’État de tenir ses engagements pour soutenir Alès, notamment par le développement de réseaux routier et ferroviaire de qualité.
C’est un enjeu fondamental pour l’attractivité du Gard et de l’Occitanie.