L’organisation des JO de Paris 2024 est une formidable occasion de mettre en lumière la France et notre circonscription.
Pendant les Jeux Olympiques, le monde aura les yeux rivés sur la France et sur les trois communes de notre circonscription. Guyancourt, Montigny-le-Bretonneux et Versailles sont des villes olympiques et auront l’honneur d’accueillir des épreuves emblématiques :
Le golf dans notre Golf national à Guyancourt : 120 joueurs prendront part à la compétition sur les 50 hectares qui ont accueilli la Ryder Cup en 2018 autour de 70 000 spectateurs quotidiens.
Le cyclisme sur piste et le BMX au Vélodrome national à Montigny-le-Bretonneux : 5 000 spectateurs admireront les exploits réalisés sur notre piste de 250 mètres de long sur 8 mètres de large – unique au monde !
L’équitation, le pentathlon moderne et le 23ème kilomètre du marathon au Château de Versailles : des dizaines de milliers spectateurs viendront encourager les athlètes, notamment dans la piscine olympique construite pour l’occasion, et les 200 chevaux qui fouleront les allées du Parc du Château.
Les JO 2024 nous permettent de créer, bâtir ou rénover des infrastructures qui serviront pour toutes les générations à venir et qui sont essentielles à l’attractivité de notre circonscription :
La gare de Saint-Quentin-en-Yvelines : 55 millions d’euros investis pour desservir les 17 000 entreprises de notre agglomération et accueillir 12 millions de voyageurs par an.
Le tram 13 : la première ligne de transport qui traverse les Yvelines du Nord au Sud, qui désenclave le nouveau quartier de Gally et qui permet à 21 000 voyageurs quotidiens de lier Saint-Germain-en-Laye à Versailles en moins de 30 minutes !
La réorganisation d’une partie de nos transports en commun routier : notamment pour les bus au sein de l’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, qui permet de rendre les transports en commun beaucoup plus accessibles à des milliers d’habitants et à des centaines d’entreprises de notre circonscription.
Notre circonscription est une terre de Jeux ! Ravi d’avoir accueilli mon collègue Hadrien Ghomi, dans le cadre de ses travaux parlementaires sur la géopolitique du sport.